Les facteurs de pénibilité mentale au travail en 1991
- 9 février 1992
- Dares Indicateurs N°265
En 1991, les cadres déclarent que leur travail est complexe, et qu'ils sont souvent débordés.
138 résultats
En 1991, les cadres déclarent que leur travail est complexe, et qu'ils sont souvent débordés.
En 1991, les salariés considèrent leurs conditions de travail comme moins supportables en 1991 qu'elles ne l'étaient en 1978 et 1984.
Le secteur du bâtiment stricto sensu est relativement plus concerné par ces accidents en 1990 qu'en 1989, 62 % des victimes du BTP en 1989 et 69 % en 1990. 41 % des accidents ont pour origine une chute.
La pression de la clientèle rythme le travail d'un salarié sur deux. C'est la contrainte que l'on rencontre le plus fréquemment sur les cadences de travail.
37 % des victimes d'accidents avaient 45 ans ou plus, au lieu de 27 % pour les salariés du secteur. L'indice de mortalité des " 45 ans et plus " est supérieur à celui des " 25 - 44 ans ", et plus encore à celui des " moins de 25 ans ".
Un actif sur quatre utilise un ordinateur dans son travail en 1987.
Les contraintes de rythme de travail, leurs sources, leurs modalités ainsi que différents types de nuisances et risques perçus par les salariés dans l'environnement de leur travail.
Entre 1982 et 1984, le travail en équipes successives s'est développé : la proportion de salariés concernés passe de 10,4 % de l'ensemble des salariés en 1982, à 12,6 % en 1984. Et la part des établissements ayant recours à ce mode de travail, de 7,4 % à 8,7 % de l'ensemble des établissements.