Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en avril 2021
- 31 mai 2021
- Covid-19
2,7 millions de salariés en activité partielle en avril 2021, soit une hausse de 13 % sur un mois.
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2,7 millions de salariés en activité partielle en avril 2021, soit une hausse de 13 % sur un mois.
Boulangers, aides à domicile, conducteurs, caissiers... 4,6 millions de salariés du secteur privé ont encouru un risque de contamination durant la crise sanitaire en continuant d’apporter à la population les services indispensables à la vie quotidienne.
En France, hors professions médicales, ce sont 4,6 millions de salariés du secteur privé, appartenant à 17 professions, qui ont continué à travailler sur site durant la crise sanitaire pour continuer à apporter les services indispensables à la vie quotidienne.
2,3 millions de salariés en activité partielle en mars, dont 11 % au titre de l’activité partielle de longue durée (APLD). Cette vue d’ensemble comprend un encadré sur le dispositif de l'APLD.
La deuxième édition de l’enquête Acemo spéciale Covid, réalisée par la Dares avec l’appui de l’Insee, a interrogé les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole entre le 1er et le 12 mai 2020, sur leur situation à fin avril.
L’enquête Acemo spéciale Covid a interrogé les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole entre le 1er et le 10 avril 2020, sur leur situation et les conditions d’emploi de la main-d’œuvre à fin mars.
A la suite du sommet européen de Luxembourg de novembre 1997, un processus sur cinq ans a été mis en place définissant une stratégie européenne pour l'emploi qui s'appuie sur une vingtaine de lignes directrices.
Les contraintes de rythme de travail, leurs sources, leurs modalités ainsi que différents types de nuisances et risques perçus par les salariés dans l'environnement de leur travail.
Entre 1982 et 1984, le travail en équipes successives s'est développé : la proportion de salariés concernés passe de 10,4 % de l'ensemble des salariés en 1982, à 12,6 % en 1984. Et la part des établissements ayant recours à ce mode de travail, de 7,4 % à 8,7 % de l'ensemble des établissements.