Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en septembre 2020
- 26 octobre 2020
- Covid-19
En septembre, la reprise peine à s’installer.
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En septembre, la reprise peine à s’installer.
La troisième édition de l’enquête Acemo spéciale Covid, réalisée par la Dares avec l’appui de l’Insee, a interrogé les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole entre le 1er et le 15 juin 2020, sur leur situation à fin mai.
L’enquête Acemo spéciale Covid a interrogé les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole entre le 1er et le 10 avril 2020, sur leur situation et les conditions d’emploi de la main-d’œuvre à fin mars.
Deux mesures du Pacte de responsabilité ayant affecté le coût du travail en 2015 sont étudiées : l’abaissement du taux de cotisations famille pour les salaires inférieurs à 1,6 SMIC d’une part et le passage à zéro cotisations de sécurité sociale au niveau du SMIC dans le cadre des allégements généraux de cotisations.
Ce rapport s’attache à approfondir les résultats déjà obtenus sur deux points principaux : le recentrage de la stratégie d’analyse sur la discontinuité du dispositif à 2,5 SMIC et l'analyse de l’hétérogénéité des effets, en restreignant l’estimation à un échantillon fortement concerné par la discontinuité.
Travailler le soir, la nuit, le samedi ou le dimanche – en horaires dits « atypiques » en comparaison des horaires standards en journée, du lundi au vendredi – ne constitue pas des situations marginales.
Fin mars 2018, 17,9 % des salariés du privé travaillent à temps partiel et 82,1 % travaillent à temps complet dans les entreprises de 10 salariés ou plus, hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales.
Les trajectoires salariales des individus rémunérés au voisinage du Smic constituent une question centrale pour la dynamique salariale en général et pour le pilotage du salaire minimum en particulier.