Les contrats aidés en 2022
- 14 février 2024
- Dares Résultats N° 14
La baisse est plus marquée pour les jeunes (-40 %), même si ceux-ci restent, en 2022, les principaux bénéficiaires de ces dispositifs.
312 résultats
La baisse est plus marquée pour les jeunes (-40 %), même si ceux-ci restent, en 2022, les principaux bénéficiaires de ces dispositifs.
Le dispositif « Formation accompagnée » qui a pour but de favoriser l'accessibilité des formations aux personnes en situation de handicap, mis en place en Normandie a fait l'objet d'une évaluation lancé par la Dares sous l'égide du comité scientifique d'évaluation du PIC.
Dans le cadre du déploiement du Plan d’investissement dans les compétences (PIC) la Direction Générale de Pôle Emploi a élaboré la prestation « Valoriser son image professionnelle » (VSI), visant le développement des savoir-être professionnels pour l’employabilité.
La situation des jeunes s’est particulièrement dégradée dès les premiers mois de la crise sanitaire. La mise en place d’un grand nombre de mesures, dont celle de l’AEJ, a pu contribuer à améliorer les perspectives d’insertion des jeunes sur le marché du travail.
47 % des personnes sorties d’un contrat aidé non marchand (hors accompagnants d’élève en situation de handicap) en 2020 déclarent occuper un emploi six mois plus tard.
Le présent appel à projets de recherche (APR) vise à encourager la réalisation de travaux d’évaluation du Contrat d’engagement jeune (CEJ).
Un appel à projet de recherche visant à mieux comprendre le recours au Contrat d'engagement jeune (CEJ), qui propose aux jeunes âgés de 16 à 25 ans éloignés de l’emploi un programme d’accompagnement intensif.
En 2021, les entrées en contrat aidé progressent fortement, rompant avec quatre années consécutives de baisse. Leur nombre fait plus que doubler en un an, pour atteindre 185 200 sur l’année 2021.
Quatre rapports d'études pour mieux comprendre les premiers effets de la crise sanitaire sur le marché du travail.
L’ouverture du Parcours d’entrée dans l’emploi aux allocataires du RSA entendait apporter une réponse à une préoccupation de la région Île-de-France et des départements franciliens qui comptent plus de 350 000 allocataires du RSA au total.