Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre : enquête trimestrielle
- 10 avril 2024
L'enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo) permet notamment de calculer les évolutions des salaires.
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L'enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo) permet notamment de calculer les évolutions des salaires.
L'enquête révèle des données clés sur la participation, l'intéressement, les plans d'épargne et l'actionnariat salarié. Elle éclaire sur l'épargne salariale, avec des détails sectoriels enrichissants pour la compréhension économique.
Cette enquête mesure annuellement les conditions d'emploi, l’impact du Smic, l’épargne salariale et les emplois vacants dans les entreprises de 1 à 9 salariés. Depuis 2018, le champ de l'enquête est étendu à toute la France hors Mayotte.
La baisse est plus marquée pour les jeunes (-40 %), même si ceux-ci restent, en 2022, les principaux bénéficiaires de ces dispositifs.
829 600 contrats d’apprentissage débutent en 2022, soit 13 % de plus qu’en 2021. Bien qu’elle soit marquée, cette hausse est moins forte que les progressions des années 2020 et 2021.
9 jeunes sortants de la voie professionnelle sur 10 sont exposés à au moins un risque physique ou chimique sur leur poste de travail, et 6 sur 10 à trois de ces risques ou plus, en 2017.
Parmi les apprentis inscrits en dernière année d’une formation de niveau CAP à BTS en 2021-2022, 38 % sont encore en études l’année scolaire suivante, pour l’essentiel à nouveau dans le cadre d’une formation en apprentissage.
Dans un contexte de reprise économique, les primes de participation, d'intéressement et l'abondement d'un plan d'épargne salariale versés par les entreprises du secteur privé non agricole à leurs salariés augmentent fortement. Leur montant est estimé à 24 milliards d'euros bruts en 2021.
En 2021, 44 % des apprentis sortis d'un cycle d'études de niveau CAP à BTS, et couverts par une convention collective de branche pendant leur apprentissage exercent un emploi salarié privé dans la même branche ou une branche proche six mois après la fin de leurs études.
En 2022, 77 % des employeurs déclarent qu’ils auraient embauché la même personne sans l’aide.