Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre : enquête trimestrielle
- 10 avril 2024
L'enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo) permet notamment de calculer les évolutions des salaires.
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L'enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo) permet notamment de calculer les évolutions des salaires.
L'enquête révèle des données clés sur la participation, l'intéressement, les plans d'épargne et l'actionnariat salarié. Elle éclaire sur l'épargne salariale, avec des détails sectoriels enrichissants pour la compréhension économique.
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En France, depuis deux siècles environ, les gouvernements successifs jouent un rôle crucial dans la mise en place d’infrastructures permettant de mettre en relation des demandeurs d’emploi avec des postes. Retraçant cette histoire, l’article rend également compte des catégories et des cadres idéologiques mobilisés par les pouvoirs publics pour mettre en œuvre un tel appariement.
Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
Cette enquête mesure annuellement les conditions d'emploi, l’impact du Smic, l’épargne salariale et les emplois vacants dans les entreprises de 1 à 9 salariés. Depuis 2018, le champ de l'enquête est étendu à toute la France hors Mayotte.
En moyenne entre 2018 et 2021, à l’issue d’un Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), 63 % des salariés concernés sont licenciés et 27 % optent pour un départ volontaire, tandis que les salariés restants sont reclassés en interne au sein de l’entreprise ou de son groupe sans rupture de contrat.
A travers plusieurs expérimentations, l’idée d’un « circuit-court » d’accès à l’emploi est passée au crible d’une enquête empirique multi-située, menée par FORS-Recherche sociale, pour analyser la manière dont sont conçues et mises en œuvre des formations centrées sur la pratique.
Dans un contexte de reprise économique, les primes de participation, d'intéressement et l'abondement d'un plan d'épargne salariale versés par les entreprises du secteur privé non agricole à leurs salariés augmentent fortement. Leur montant est estimé à 24 milliards d'euros bruts en 2021.
Sur l’ensemble des sortants de Pacea n’incluant pas de Garantie jeunes, 54% ont une durée de parcours inférieure à un an.