Formation employeur - annuelle (2023)
- 4 avril 2024
Vous avez reçu une lettre ou un mail vous invitant à répondre à un questionnaire en ligne sur vos pratiques de formation ?
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Vous avez reçu une lettre ou un mail vous invitant à répondre à un questionnaire en ligne sur vos pratiques de formation ?
En 2019, moins de la moitié des établissements ont un document unique d’évaluation des risques professionnels (DUERP) à jour. Le DUERP ainsi que les mesures de prévention sont plus fréquents dans les secteurs d’activité où les salariés sont le plus exposés.
Le nombre de salariés concernés augmente progressivement jusqu’en avril 2021, où il atteint 271 000, mais représente alors une part marginale de l’activité partielle (10 %).
Six mois après être sortis d’un parcours d’insertion par l’activité économique (IAE) en 2021, près de la moitié des bénéficiaires sont en emploi.
9 jeunes sortants de la voie professionnelle sur 10 sont exposés à au moins un risque physique ou chimique sur leur poste de travail, et 6 sur 10 à trois de ces risques ou plus, en 2017.
S’appuyant sur un matériau recueilli dans le cadre d’une étude commanditée par la Dares, cet article s'intéresse aux points communs et aux divergences entre l'expérimentation territoires zéro chômeur de longue durée et les dispositifs de l'insertion par l'activité économique.
En 2022, 174 800 nouveaux contrats sont signés dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), soit 4% de moins qu’en 2021. Cette baisse résulte du net recul (-22%) des entrées dans les associations intermédiaires (AI).
Chaque année, le groupe d'experts sur le salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic) remet au Gouvernement et à la Commission nationale de la négociation collective un rapport analysant l’impact du Smic sur l’économie française.
Alors que l’État a fortement encouragé et financé l’articulation entre chômage partiel et formation pendant la crise sanitaire, seule une minorité de salariés placés en activité partielle a suivi une formation en 2020.
3,1 millions de salariés du secteur privé non agricole bénéficient directement de la revalorisation du 1er janvier 2023, soit 17,3 % des salariés.