Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en janvier 2021
- 24 février 2021
- Covid-19
En janvier, l’activité se stabilise malgré la mise en place d’un couvre-feu renforcé sur l’ensemble du territoire.
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En janvier, l’activité se stabilise malgré la mise en place d’un couvre-feu renforcé sur l’ensemble du territoire.
25 % des salariés ont été au moins un jour en télétravail en décembre.
L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur les conditions de travail des actifs occupés et le vécu des individus sans emploi.
La pression de la clientèle rythme le travail d'un salarié sur deux. C'est la contrainte que l'on rencontre le plus fréquemment sur les cadences de travail.
Avec moins de 700 000 journées non travaillées, cette année 1990 ne se contente pas de franchir un nouveau palier dans le processus de baisse régulière de la onflictualité, elle fait date : jamais en effet le niveau des grèves n'avait atteint un tel étiage depuis 1946.
Conclus à plus de 60 % par des syndicats, les accords priorisent le recrutement de salariés de l'entreprise sur la base du volontariat. La rémunération est souvent plus favorable que les 50 % de majoration légale prévus.
L'enquête visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits…
En mars 1991, trois salariés sur quatre déclarent faire des efforts physiques (68 % en 1984) ; presque tous les ouvriers sont dans ce cas, près des trois quart des employés et deux tiers des professions intermédiaires.