Conjoncture de l'emploi et du chômage au 4e trimestre 2009
- 16 avril 2010
- Dares Analyses N°022
L’activité économique a nettement accéléré au 4e trimestre 2009 (+0,6% en variation trimestrielle, après +0,2 % au trimestre précédent).
11 résultats
L’activité économique a nettement accéléré au 4e trimestre 2009 (+0,6% en variation trimestrielle, après +0,2 % au trimestre précédent).
L'enquête permet de mieux comprendre le passage en dispositif et les modalités d’accompagnement et de décrire la trajectoire professionnelle des signataires et leurs caractéristiques sociodémographiques.
En juin 2009, près de 10 % des salariés des TPE sont en contrat aidé, contre plus de 20 % dix ans auparavant.
L’enquête visait à retracer les trajectoires professionnelles des personnes passées par des dispositifs de la politique de l’emploi à la fin des années 90 et d'évaluer l'efficacité des contrats aidés ou stages de formation.
La reprise de l’activité initiée au 2ème trimestre 2009 s’est poursuivie au 3ème trimestre 2009 (+0,3 % en variation trimestrielle, comme au trimestre précédent).
Début 1993, près de 1,4 millions de personnes sont salariées sous une forme particulière d'emploi : contrats à durée déterminée (CDD), contrats de travail temporaire, contrats d'apprentissage, les stages et contrats aidés.
Au cours de l'année 1992, près de 2 millions de personnes ont été embauchées, sont entrées en stage ou ont accédé à des mesures d'accompagnement des restructurations grâce à l'un des dispositifs publics de la politique d'emploi.
77 000 salariés ont été recrutés en 1992 avec exonération des charges sociales patronales au titre d'une première embauche, soit 8,5 % d'augmentation par rapport à 1991. En décembre dernier, 118 000 entreprises bénéficiaient de cette mesure.
Au cours de ces trois premières années de fonctionnement, le dispositif CFI_Jeunes a bénéficié à un public âgé principalement de 18 ans et plus, et majoritairement féminin. Les jeunes entrent dans le CFI de plus en plus tôt au sortir du système scolaire.
Avoir ou non l'allocation d'insertion ne serait ni un atout ni un handicap majeur pour la reprise d'emploi. Au moment de l'enquête en juillet 1992, près d'un jeune sur cinq est sorti de l'ANPE pour prendre un emploi qu'il ait bénéficié ou non de l'allocation d'insertion.