Les préretraités dans l'enquête Emploi depuis 2014
- 13 mars 2024
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Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
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Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
9 jeunes sortants de la voie professionnelle sur 10 sont exposés à au moins un risque physique ou chimique sur leur poste de travail, et 6 sur 10 à trois de ces risques ou plus, en 2017.
En janvier 2021, parmi les personnes ayant travaillé au moins une semaine depuis le début de la pandémie en mars 2020, 96 % ont conservé leur emploi : 93 % continuent de travailler tandis que 3 % ne travaillent pas du tout et sont en « activité partielle ».
En France, en 2019, 37 % des salariés ne se sentent pas capables de tenir dans leur travail jusqu’à la retraite. L’exposition à des risques professionnels – physiques ou psychosociaux –, tout comme un état de santé altéré, vont de pair avec un sentiment accru d'insoutenabillité du travail.
L’introduction de la Garantie Jeunes conduirait avant tout à augmenter les chances d’obtenir un contrat à durée limitée, qu’il s’agisse d’un CDD ou d’un contrat d’intérim.
En 2021, 56,0 % des personnes de 55 à 64 ans sont en emploi (contre 81,8 % des 25 à 49 ans) et 59,7 % en activité. Ces taux sont au plus haut depuis 1975. Ils diminuent avec l’âge, en raison des départs en retraite.
L’enquête vise à connaitre les motifs réels de sortie de ces personnes, et en cas de sortie pour reprise d’emploi, décrire la nature de l’emploi retrouvé.
Fin juin 2021, du fait de la poursuite de la crise sanitaire et des mesures de prolongation automatique des droits à l’Assurance chômage, le nombre de demandeurs d’emploi indemnisables atteint le pic de 4,7 millions, ce qui représente 69 % des inscrits à Pôle emploi.
290 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle en mars 2022, un nombre en recul par rapport à février (- 80 000), et le plus bas depuis mars 2020.
410 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle en février 2022, un nombre en recul par rapport à janvier (- 70 000).