La situation sur le marché du travail au 1er trimestre 2024
- 24 mai 2024
- Autres publications
Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2024.
113 résultats
Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2024.
Sur l’ensemble du secteur salarié privé (hors agriculture, intérim, particuliers employeurs et activités extraterritoriales), 615 000 emplois sont vacants en moyenne en 2023, dont 40 % dans les entreprises de 1 à 9 salariés.
Les très petites entreprises (TPE), de moins de 10 salariés, emploient 18 % des salariés du secteur privé non agricole en 2022. Elles se trouvent en dessous des seuils légaux qui imposent l’élection de représentants du personnel ou la tenue de négociations collectives.
Au premier trimestre 2024, l’emploi salarié privé augmente de 0,2 %, après -0,1 % au trimestre précédent.
Fin mars 2024, 754 500 personnes occupent un emploi intérimaire (données provisoires, corrigées des variations saisonnières), soit une hausse de 0,8 % par rapport au mois précédent (soit +5 700 intérimaires), après −0,7 % en février 2024 et −0,3 % en janvier 2024.
En 2022, le nombre de journées individuelles non travaillées (JINT) pour fait de grève augmente de 71 % par rapport à l’année précédente, pour atteindre 99 jours pour 1 000 salariés.
Les sortants précoces du système scolaire rencontrent de plus en plus de difficultés d’insertion sur le marché du travail au fil des générations.
Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires... Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2023.
Les effets de la transition écologique sur le niveau agrégé d’emploi seront relativement faibles. Toutefois, la transition devrait s’accompagner d’une réallocation relativement importante de la main-d’œuvre à la fois entre secteurs et au sein des secteurs clés de la transition.
Alors que l’emploi salarié hors apprentis dans le commerce de détail suivait jusque-là une évolution voisine de celle de l’ensemble du secteur privé, ça n’est plus le cas en 2022 où il recule, dans un contexte de forte inflation et de modification structurelle des habitudes de consommation.