Mythes et réalités de la syndicalisation en France
- 29 octobre 2004
- Dares Résultats N°44.2
En 2003, plus de 8 % des salariés (7,5 % des femmes et 9 % des hommes) sont syndiqués. C'est deux fois moins qu'il y a vingt-cinq ans.
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En 2003, plus de 8 % des salariés (7,5 % des femmes et 9 % des hommes) sont syndiqués. C'est deux fois moins qu'il y a vingt-cinq ans.
À l'intérieur des entreprises, la présence syndicale repose encore souvent aujourd'hui sur des militants en majorité masculins, ce qui limite, de fait, la capacité des syndicats à assurer la mixité des listes en vue des élections.
Près de la moitié des bénéficiaires du RMI de décembre 2001, et qui le sont toujours un an plus tard ne sont pas inscrits à l’Anpe. Ils sont plus éloignés du marché du travail que les inscrits. Près de la moitié d’entre eux sont au foyer ou inactifs, contre 7 % des inscrits à l’Anpe.
Entre juillet 2002 et fin décembre 2003, 136 400 jeunes ont été embauchés, en France métropolitaine, dans le cadre du dispositif de « Soutien à l'emploi des jeunes en entreprise » (SEJE), dont 87 300 pour l'année 2003.
En 2003, trois ans après leur sortie du dispositif, les anciens bénéficiaires de la politique de l'emploi n'en sont pas au même stade.
En 2002, 388 000 jeunes ont été accueillis pour la première fois dans le réseau des missions locales (ML) et PAIO (Permanences d'Accueil, d'Information et d'Orientation), soit 5 % de plus qu'en 2001.
Formation et durée de contrat favorisent l'insertion professionnelle.
En 2001, la dépense globale de la Nation en faveur de la formation professionnelle et de l’apprentissage augmente de 1,8 % par rapport à l’année précédente et atteint près de 22 milliards d'euros.
Avec une baisse de 12 % en 2002, les entrées en contrat de qualification, d'adaptation et d'orientation reculent pour la deuxième année consécutive.
Le nombre d'entrées de demandeurs d'emploi en formations financées par l'État continue de baisser en 2002.