Les bénéficiaires des politiques de l'emploi
- 30 décembre 2002
- Dares Analyses n°52.3
L'insertion des bénéficiaires sortis des mesures des politiques de l'emploi fin 1999 a été grandement facilitée par le contexte économique favorable de l'époque.
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L'insertion des bénéficiaires sortis des mesures des politiques de l'emploi fin 1999 a été grandement facilitée par le contexte économique favorable de l'époque.
Près de quatre ans après la mise en place du programme « Nouveaux services - Emplois jeunes 80 % des employeurs déclarent s'être engagés dans un processus de formation des jeunes salariés en place.
Un jeune bénéficiaire du dispositif Trajet d'Accès à l'Emploi (TRACE) sur deux accède à un emploi.
La croissance économique est à nouveau positive au premier trimestre 2002 et le secteur concurrentiel non agricole crée 37 000 emplois.
À partir de 1999, la territorialisation s'élargit et devient une démarche stratégique des politiques de l'emploi.
Fin 2000, la durée annuelle moyenne du travail des salariés à temps complet (hors cadres au forfait en jours) s'établit à 1 651 heures.
L'allocation de Solidarité Spécifique (ASS), destinée aux chômeurs en fin de droits, est versée à environ 400 000 personnes.
Malgré le repli de l’emploi industriel, et alors même que le PIB du secteur concurrentiel diminuait, le dynamisme du secteur tertiaire et, dans une moindre mesure, celui de la construction, ont conduit à la création de 50 000 nouveaux emplois au quatrième trimestre 2001.
Dans l'enquête Emploi du temps, 17 % des salariés sont à temps partiel, mais la proportion est de 30 % pour les femmes et de 5 % pour les bommes. Parmi les temps partiels, les femmes représentent donc une très forte majorité (85 %).
Invités à s'exprimer après leur passage en contrat emploi solidarité, en stage d'insertion et de formation à l'emploi ou en contrat initiative emploi, les bénéficiaires émettent des opinions contrastées sur leur expérience.