Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en avril 2021
- 31 mai 2021
- Covid-19
2,7 millions de salariés en activité partielle en avril 2021, soit une hausse de 13 % sur un mois.
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2,7 millions de salariés en activité partielle en avril 2021, soit une hausse de 13 % sur un mois.
Pour 11 % des actifs occupés, les conditions de travail se dégradent nettement et les risques psychosociaux augmentent sensiblement. Les télétravailleurs sont surreprésentés dans ce groupe : ils sont 41 % contre 30 % en moyenne.
54 % des travailleurs ont eu une relative stabilité des conditions de travail par rapport à l’avant-crise sanitaire et 32 % ont eu des conditions de travail en partie dégradées.
Boulangers, aides à domicile, conducteurs, caissiers... 4,6 millions de salariés du secteur privé ont encouru un risque de contamination durant la crise sanitaire en continuant d’apporter à la population les services indispensables à la vie quotidienne.
En France, hors professions médicales, ce sont 4,6 millions de salariés du secteur privé, appartenant à 17 professions, qui ont continué à travailler sur site durant la crise sanitaire pour continuer à apporter les services indispensables à la vie quotidienne.
L’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,5 % au 1er trimestre 2021.
Quels sont les effets de la mise en œuvre des contrats de prévention sur le nombre de maladies professionnelles et accidents du travail dans les entreprises du secteur agricole ?
12,1% des ouvriers et 9,7 % des employés (données CVS) ont bénéficié d'une augmentation de leur salaire de base en avril 1994. Ces proportions sont plus élevées qu'en mars, et, pour les ouvriers, le niveau atteint est comparable à celui d'avril 1993.
En octobre 1993, le gain moyen mensuel brut d'un salarié, primes mensuelles comprises, s'élève à 11 079 F. En moyenne, un ouvrier gagne 8 325 F, un employé 8 994 F, un agent de maîtrise, un technicien, un dessinateur 12 297 F et un cadre 22 162 F.
La durée hebdomadaire effective du travail est en légère hausse saisonnière par rapport au début du premier trimestre 1994 ; elle s'établit à 38,93 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,87 heures pour les non-ouvriers et à 39,00 heures pour les ouvriers.