Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre : enquête trimestrielle
- 10 avril 2024
L'enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo) permet notamment de calculer les évolutions des salaires.
253 résultats
L'enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo) permet notamment de calculer les évolutions des salaires.
Le nombre de salariés concernés augmente progressivement jusqu’en avril 2021, où il atteint 271 000, mais représente alors une part marginale de l’activité partielle (10 %).
Six mois après être sortis d’un parcours d’insertion par l’activité économique (IAE) en 2021, près de la moitié des bénéficiaires sont en emploi.
S’appuyant sur un matériau recueilli dans le cadre d’une étude commanditée par la Dares, cet article s'intéresse aux points communs et aux divergences entre l'expérimentation territoires zéro chômeur de longue durée et les dispositifs de l'insertion par l'activité économique.
En 2022, 174 800 nouveaux contrats sont signés dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), soit 4% de moins qu’en 2021. Cette baisse résulte du net recul (-22%) des entrées dans les associations intermédiaires (AI).
Alors que l’État a fortement encouragé et financé l’articulation entre chômage partiel et formation pendant la crise sanitaire, seule une minorité de salariés placés en activité partielle a suivi une formation en 2020.
En 2020, le salaire brut mensuel moyen en équivalent temps plein (EQTP) d’un salarié couvert par une convention collective du privé s’élève à 3350 euros. Net de tous prélèvements sociaux, il atteint 2 556 euros, en hausse de 3,2 % en euros constants par rapport à 2019.
Entre janvier 2021 et juin 2022, le nombre de salariés placés en activité partielle recule fortement même s’il reste, mi-2022, supérieur à celui d’avant la crise sanitaire.
En janvier 2021, parmi les personnes ayant travaillé au moins une semaine depuis le début de la pandémie en mars 2020, 96 % ont conservé leur emploi : 93 % continuent de travailler tandis que 3 % ne travaillent pas du tout et sont en « activité partielle ».
Fin 2021, 142 900 salariés en insertion travaillent dans une structure de l’Insertion par l’Activité Économique (IAE).