Demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi au 4e trimestre 2020
- 27 janvier 2021
- Dares Indicateurs N°04
5 710 600 demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi (cat. A, B, C) en moyenne au 4e trimestre 2020 en France métropolitaine...
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5 710 600 demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi (cat. A, B, C) en moyenne au 4e trimestre 2020 en France métropolitaine...
En juillet 2020, en France hors Mayotte, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi n’ayant exercé aucune activité (catégorie A) baisse de nouveau fortement (-174 300, après -204 700 en juin et -149 900 en mai) mais demeure à un niveau élevé (4 046 600).
En mai 2020, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi n’ayant exercé aucune activité (catégorie A) baisse fortement (-149 900 demandeurs d’emploi par rapport à avril) mais demeure à un niveau élevé (4 425 600) en France (hors Mayotte).
En moyenne au quatrième trimestre 2019, en France métropolitaine, le nombre de personnes inscrite à Pôle emploi et tenues de rechercher un emploi (catégories A, B, C) s’établit à 5 442 900.
Au 4e trimestre 2019, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A, B ou C baisse en moyenne de 1,6 % sur l’ensemble du territoire national et, plus précisément, baisse dans 96 départements.
En juillet, le nombre des demandeurs d'emploi en fin de mois (inscrits à l'ANPE, catégorie 1) s'élève à 3 221 800 en données corrigées des variations saisonnières (CVS), soit une hausse de 0,8 % par rapport à juin.
La sensibilité d'une zone d'emploi aux problèmes de l'emploi et du chômage revêt différents aspects : fragilité de l'appareil productif, déficit en main-d'œuvre qualifiée, déséquilibre démographique ou migratoire.
En mai, le nombre des demandeurs d'emploi en fin de mois (inscrits à l'ANPE, catégorie 1) s'élève à 3 141 200 en données corrigées des variations saisonnières (CVS), soit une hausse de 0,9 % par rapport à avril.
Face à la dégradation de l'emploi en 1992, les Français sont de plus en plus inquiets et pessimistes sur l'évolution du chômage : 87 % des personnes interrogées pensent que le nombre des chômeurs va encore augmenter pendant plusieurs années.
Avoir ou non l'allocation d'insertion ne serait ni un atout ni un handicap majeur pour la reprise d'emploi. Au moment de l'enquête en juillet 1992, près d'un jeune sur cinq est sorti de l'ANPE pour prendre un emploi qu'il ait bénéficié ou non de l'allocation d'insertion.