Les contrats emploi-solidarité et les contrats emploi consolidé en 2005 : derniers mois
- 14 septembre 2006
- Dares Résultats N°38.1
121 000 contrats emploi-solidarité ont été signés en 2005, à 80 % au cours des quatre premiers mois de l’année.
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121 000 contrats emploi-solidarité ont été signés en 2005, à 80 % au cours des quatre premiers mois de l’année.
En 2005, 247 000 personnes ont accédé à un contrat d’accompagnement dans l’emploi (CAE), un contrat d’avenir, un contrat d’insertion-revenu minimum d’activité (CI-RMA) ou un « nouveau » contrat initiative emploi (CIE).
Plus d’un million de jeunes de 16 à 25 ans ont été accueillis en 2004, dont plus de 440 000 pour la première fois.
En 2003, les établissements du privé d’au moins dix salariés ont licencié trois fois plus souvent pour motif personnel que pour motif économique.
Face aux représentants du personnel, les directions d'entreprise adoptent une attitude ambivalente : les trois quarts reconnaissent avoir besoin d'interlocuteurs, mais quatre sur cinq considèrent aussi que les "salariés sont en mesure de défendre directement leurs intérêts".
En octobre 1993, le gain moyen mensuel brut d'un salarié, primes mensuelles comprises, s'élève à 11 079 F. En moyenne, un ouvrier gagne 8 325 F, un employé 8 994 F, un agent de maîtrise, un technicien, un dessinateur 12 297 F et un cadre 22 162 F.
Les emplois temporaires ont augmenté entre 1987 et 1992. Ils représentent 6 % de l'emploi total des établissements de plus de dix salariés contre 4,9 % en 1987. Ils concernent surtout les salariés non qualifiés.
L'inquiétude face au chômage que ce soit pour soi même ou pour ses proches, ne cesse de s'accroître depuis le début des années 1990. En 1989, un tiers des personnes interrogées s'inquiétaient " beaucoup " ou " assez " face à ce risque. En 1992, elles étaient 41 % ; en 1993, 54 %.
Plus d'un salarié sur deux utilise les nouvelles technologie de l'information, informatique, télécommunications, vidéo.
En 1992, un tiers environ des établissements soumis à l'obligation d'emploi de salariés handicapés respecte ou dépasse le taux légal d'emploi de 6 %. La grande majorité recourt aux alternatives légales à l'obligation d'emploi.