Les mouvements de main-d'œuvre au 2e trimestre 2005
- 28 août 2006
- Dares Indicateurs N°35.1
Au deuxième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim repart à la hausse dans les établissements de plus de dix salariés.
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Au deuxième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim repart à la hausse dans les établissements de plus de dix salariés.
Un état des lieux des mécanismes qui jouent au détriment de l’accès des moins qualifiés à la formation. Ces mécanismes sont multiples et varient selon l’environnement institutionnel propre à chaque catégorie considérée : salariés, demandeurs d’emploi, jeunes...
Parmi les 2 680 000 demandeurs d’emploi indemnisés par l’Assurance chômage ou le régime de solidarité de l’État, plus de 400 000 chômeurs de 55 à 64 ans bénéficiaient, à leur demande, d’une dispense de recherche d’emploi (DRE).
En 2004, plus de 2 000 structures d’insertion par l’activité économique étaient en activité : entreprises d’insertion, entreprises de travail temporaire d’insertion et associations intermédiaires
En 2004, 2 500 embauches ont ouvert droit à une exonération au titre des zones de redynamisation urbaine (ZRU).
Les entrées en contrat aidé ont nettement augmenté entre 1995 et 1999. Par la suite, elles se sont moins repliées qu’en métropole.
En 2004, 12 000 salariés ouvrant droit à l’exonération ont été embauchés par des établissements implantés dans l’une des 79 zones franches urbaines (ZFU) de France métropolitaine.
Au premier trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim fléchit dans les trois grands secteurs d’activité.