Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre sur le dialogue social en entreprise
- 29 avril 2024
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
27 résultats
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
En 2022, 2,4 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (employant 25 % des salariés de ce champ) connaissent un ou plusieurs arrêts collectifs de travail. Cette proportion augmente nettement, de 0,8 point, par rapport à 2021.
L’emploi intérimaire poursuit son recul à la fin du mois de février 2024 (-0,8 %, soit -5 900 intérimaires), après une baisse d'ampleur similaire au mois de janvier (-0,4 %, soit -2 700 intérimaires en janvier 2024). Sur un an, il diminue de 6,1 %.
Depuis 2019, la note moyenne à l’Index augmente de 3,6 points et la part des notes inférieures à 75 se réduit de moitié.
L’emploi intérimaire poursuit son recul au 4e trimestre 2023 (-1,7 %, soit -13 000 intérimaires), après une baisse d'ampleur similaire au 3e trimestre (-2,0 %, soit -15 800 intérimaires au 3e trimestre 2023). Sur un an, il diminue de 6,6 %.
En France, dans les établissements de plus de 10 salariés du secteur privé non agricole, les conflits du travail prennent différentes formes, dont la grève est une figure plutôt rare.
En 2014, 1,4 % des entreprises de 10 salariés et plus du secteur marchand non agricole déclarent avoir connu un ou plusieurs arrêts collectifs de travail, soit une légère hausse par rapport à 2013 (+0,2 point).
56,6 % des salariés concernés par la hausse du Smic sont des femmes, et même près de 64 % dans les entreprises de 500 salariés ou plus, alors qu’elles représentent moins de la moitié des salariés, y compris dans les grandes entreprises.
L’emploi intérimaire pèse sur les évolutions de l’emploi salarié dans l’industrie et la construction.
35 % des actifs occupés signalent avoir subi un comportement hostile dans le cadre de leur travail au cours des 12 derniers mois.