Insertion à six mois des sortants de contrat de professionnalisation (depuis 2011)
- 20 décembre 2022
L’enquête vise à étudier la situation des bénéficiaires de contrat de professionnalisation six mois après leur sortie de contrat.
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L’enquête vise à étudier la situation des bénéficiaires de contrat de professionnalisation six mois après leur sortie de contrat.
Si les salariés ont des attitudes plutôt positives à l’égard des syndicats, une proportion croissante d’entre eux ne s'exprime pas.
Cet article interroge les prises que se donnent (ou non) les salarié·es pour négocier les salaires avec leurs employeur·ses, et si le fait de se mobiliser influe sur l’issue des négociations.
L’emploi intérimaire rebondit au 3e trimestre 2022 (+1,9 %, soit +14 900 intérimaires), après deux trimestres consécutifs de baisse (-2,3 %, soit -18 700 intérimaires au 2e trimestre 2022 et -1,9 %, soit -15 900 intérimaires au 1er trimestre).
La Dares contribue chaque année à l'annexe au projet de loi de finances consacrée à la formation professionnelle. Ce "jaune budgétaire" présente les principales données financières et physiques relatives à la formation professionnelle continue et à l’apprentissage, quels qu’en soient les dispositifs, les financeurs et les bénéficiaires.
L’emploi intérimaire recule de nouveau au 2e trimestre 2022 (−2,5 %, soit −20 500 intérimaires, après −1,9 %, soit −15 800 intérimaires au 1er trimestre 2022).
En 2021, les entrées en contrat de professionnalisation s’établissent à 120 600 et augmentent pour la première fois depuis 2019 (+7 % sur un an).
En 2018, les entreprises privées, toutes tailles confondues, versent aux organismes paritaires collecteurs agréés (Opca) 6,8 Md€ pour la formation des salariés.
Garantie jeune, insertion par l'activité économique, parcours emploi compétences... 1,8 million d'entrées sont comptées dans ces dispositifs entre mi-2020 et mi-2021, soit une hausse de 41 % sur un an.
En 2020, 41,4 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (-0,5 point par rapport à 2019), soit 78,4 % des salariés du champ, sont couvertes par au moins une instance représentative du personnel.