L'emploi intérimaire au 2e trimestre 2005
- 15 novembre 2005
- Dares Indicateurs N°46.1
À la fin du deuxième trimestre 2005, 592 000 salariés sont intérimaires, soit 3 000 de plus qu’au trimestre précédent (+0,5 %).
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À la fin du deuxième trimestre 2005, 592 000 salariés sont intérimaires, soit 3 000 de plus qu’au trimestre précédent (+0,5 %).
La négociation de branche se place sur le terrain de la définition de politiques, il s‘agit là d’un phénomène, sinon nouveau, du moins en développement.
À la fin du premier trimestre 2005, on dénombre 590 000 intérimaires, soit 3 000 de plus qu’au trimestre précédent (+ 0,4 %).
En juillet 2004, au sein des entreprises non agricoles et hors intérim, 15,6 % des salariés ont bénéficié de la hausse du SMIC ou des garanties mensuelles de rémunération.
Pour promouvoir l’emploi des travailleurs âgés, les pays d’Europe du Nord ont mis en place des dispositifs qui influent sur les pratiques des entreprises.
En 2004, le volume de l’intérim atteint 569 300 équivalents-emplois temps plein, une augmentation de 2,6 % par rapport à 2003, soit +14 000 équivalents-emploi temps plein.
Avec 585 000 équivalents-emplois à temps plein au quatrième trimestre 2004, l’intérim crée 15 000 postes (+2,5 %), poursuivant ainsi la hausse entamée depuis le deuxième trimestre 2004.
En 2003, les conditions d’accès aux dispositifs de préretraites ont été durcies avec la réforme des retraites et les objectifs du plan national d’action pour l’emploi qui visent à favoriser le maintien des plus âgés sur le marché du travail.
Entre 1992 et 2002, le travail intérimaire se développe dans l’industrie, ce qui réduit la chute de l’emploi dans ce secteur.
En 2002, l’effort de la nation en matière de formation professionnelle et d’apprentissage s’amenuise encore : avec 1,43 % de la richesse nationale, il retrouve un niveau proche de celui de 1988.