Quelle place occupe l’emploi saisonnier en France ?
- 4 décembre 2019
- Dares Analyses N°057
Entre avril 2018 et mars 2019, un peu plus d’1 million de personnes ont eu au moins un contrat saisonnier en France (hors Mayotte).
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Entre avril 2018 et mars 2019, un peu plus d’1 million de personnes ont eu au moins un contrat saisonnier en France (hors Mayotte).
Entre avril 2018 et mars 2019, un peu plus d’1 million de personnes ont eu au moins un contrat saisonnier en France (hors Mayotte). Près de 100 000 personnes ont travaillé plus spécifiquement comme saisonniers lors des vendanges.
Entre avril 2018 et mars 2019, un peu plus d’1 million de personnes ont eu au moins un contrat saisonnier en France (hors Mayotte). 10 000 de ces travailleurs saisonniers étaient concentrés dans les départements et régions d’outre-mer.
Quels facteurs ont contribué à la diminution du temps de travail ? La Dares a apporté son expertise à la publication « France, portrait social » (Insee Références, 2019), qui propose un éclairage sur 40 ans d’évolutions de la société française.
Si les femmes télétravaillent presque autant que les hommes, la situation familiale joue sur le recours à ce mode d’organisation du travail.
La Dares a apporté son expertise à la publication L’économie et la société à l’ère du numérique (Insee Références, 2019) qui rend compte des transformations de l’économie et de la société par le numérique.
Elles ont augmenté de 3,4 % en euros constants par rapport à 2016 dans un contexte de croissance économique forte (+2,2 %) et de hausse des créations d’emplois dans le secteur marchand (+55 % par rapport à 2016).
L’entrée en vigueur du régime de l’auto-entrepreneur (maintenant micro-entrepreneur) s’est accompagnée d’une hausse de 75 % des créations d’entreprises, passant de 330 000 en 2008 à 580 000 en 2009.
Entre 2009 et 2014, le dispositif Nacre a bénéficié à 124 400 porteurs de projet de création ou de reprise d’entreprise. Fin 2014, 32 400 porteurs de projet étaient accompagnés dans ce cadre.
Jusqu’en 2014, toutes les entreprises étaient tenues de verser un pourcentage minimal de leur masse salariale au titre de la formation continue des salariés.