La syndicalisation
- 21 décembre 2021
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En 2019, 10,3 % des salariés déclarent adhérer à un syndicat, 11,0 % des hommes et 9,5 % des femmes, en France (hors Mayotte).
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En 2019, 10,3 % des salariés déclarent adhérer à un syndicat, 11,0 % des hommes et 9,5 % des femmes, en France (hors Mayotte).
Une discrimination à l’encontre des candidats d’origine maghrébine généralisée et persistante.
Pour approfondir la connaissance des discriminations à l’embauche, une expérimentation de grande ampleur a été menée par ISM Corum et l’Institut des politiques publiques (IPP), sous l’égide de la Dares.
Avec la crise, le nombre d’accords de performance collective (APC) augmente nettement. Cette hausse repose sur les unités (entreprises, groupes,...) aguerries au dialogue social. Les accords s’adaptent à l’urgence de la crise sanitaire et se démarquent de ceux conclus auparavant.
Parmi les candidatures d’origine supposée maghrébine, les femmes reçoivent davantage de réponses positives que leurs homologues masculins (+10 %).
En 2019, 2,5 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (représentant 25 % des salariés) ont connu un ou plusieurs arrêts collectifs de travail.
Huit rapports d'études pour mieux comprendre des conséquences de la crise sur le développement des compétences, le système et le marché de la formation professionnelle ainsi que sur le modèle pédagogique et les pratiques des organismes de formation.
L'Université Gustave Eiffel étudie les effets de la récession sur la discrimination à l'embauche sur le marché du travail de la région parisienne, dans le contexte de la pandémie.
Le Centre lillois d'études et de recherches sociologiques et économiques (Clersé) questionne le rôle que jouent les compétences et les moyens de les acquérir pendant la crise sanitaire.
Le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) observe dans quelle mesure la formation pourrait-elle être un moyen d’amortir les conséquences de la crise sanitaire dans le secteur du tourisme.