La syndicalisation
- 21 décembre 2021
- Triennales
- Nationales
En 2019, 10,3 % des salariés déclarent adhérer à un syndicat, 11,0 % des hommes et 9,5 % des femmes, en France (hors Mayotte).
81 résultats
En 2019, 10,3 % des salariés déclarent adhérer à un syndicat, 11,0 % des hommes et 9,5 % des femmes, en France (hors Mayotte).
Parmi les apprentis de niveau CAP à BTS en dernière année d’un cycle d’études professionnelles en 2019-2020, 38 % sont toujours en formation l’année scolaire suivante. Cette proportion est en hausse de 4 points par rapport à la génération précédente inscrite en 2018-2019.
Dans un contexte de diminution du nombre de médecins du travail, les visites de suivi des salariés du privé par les services de santé au travail sont devenues moins fréquentes.
En 2020, les tensions sur le marché du travail diminuent pour la première fois depuis 2015, et retrouvent leur niveau de 2017.
Avec la crise, le nombre d’accords de performance collective (APC) augmente nettement. Cette hausse repose sur les unités (entreprises, groupes,...) aguerries au dialogue social. Les accords s’adaptent à l’urgence de la crise sanitaire et se démarquent de ceux conclus auparavant.
Interview - Alexis Eidelman, chef du département Analyse des métiers et emploi des travailleurs handicapés à la Dares a été auditionné par la Commission Travail et emploi du Conseil économique, social et environnemental (CESE).
Huit rapports d'études pour mieux comprendre des conséquences de la crise sur le développement des compétences, le système et le marché de la formation professionnelle ainsi que sur le modèle pédagogique et les pratiques des organismes de formation.
Le Centre lillois d'études et de recherches sociologiques et économiques (Clersé) questionne le rôle que jouent les compétences et les moyens de les acquérir pendant la crise sanitaire.
Le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) observe dans quelle mesure la formation pourrait-elle être un moyen d’amortir les conséquences de la crise sanitaire dans le secteur du tourisme.
Cette étude propose d’identifier les risques psychosociaux des salariées des métiers de l’aide à domicile relativement aux autres salariées.