La préretraite progressive en 1988
- 19 décembre 1989
- Dares Indicateurs N°152
En moyenne, sur les sept années, 5 500 personnes étaient chaque année potentiellement concernées par le bénéfice d'une préretraite et 2 100 y ont adhéré.
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En moyenne, sur les sept années, 5 500 personnes étaient chaque année potentiellement concernées par le bénéfice d'une préretraite et 2 100 y ont adhéré.
Ces résultats confirment l'idée que les contrats de travail aidés (contrat d'adaptation et contrat de qualification débouchent plus fréquemment sur un emploi, même si cela résulte pour partie d'une sélection préalable à l'entreprise.
Depuis le 1er mai, le plan d'emploi des jeunes a permis l'embauche ou l'accueil en entreprise de 718 738 jeunes au total, dont 132 426 au cours du mois de novembre 1986. Le flux d'embauche du mois de novembre est chaque année en retrait de 25 % par rapport au mois d'octobre
Le plan d'emploi des jeunes a permis l'embauche ou l'accueil en entreprise de 189 119 jeunes au cours du mois d'octobre, ce qui porte le total depuis le 1er mai à 586 312. Fin octobre, 174 189 stagiaires TUC ont été rémunérés.
En septembre, 168 430 jeunes ont été embauchés ou accueillis en entreprise grâce au plan pour l'emploi des jeunes. Depuis le 1er mai, ils sont donc 397 193.
En 1985, elle atteint 171,5 milliards de francs, soit une augmentation de 13,1 % en francs courants et de 6,9 % en francs constants par rapport à 1984. Sur ces trois dernières années, la Dépense pour l'emploi représente une masse équivalente à un peu plus de 3,5 % du PIB.
L'ensemble des mesures de formation en alternance (apprentissage, contrats d'adaptation ou de qualification et stages d'initiation à la vie professionnelle) a permis l'embauche de 32 079 jeunes en août au lieu de 36 152 en juillet.
Les contraintes de rythme de travail, leurs sources, leurs modalités ainsi que différents types de nuisances et risques perçus par les salariés dans l'environnement de leur travail.
Entre 1982 et 1984, le travail en équipes successives s'est développé : la proportion de salariés concernés passe de 10,4 % de l'ensemble des salariés en 1982, à 12,6 % en 1984. Et la part des établissements ayant recours à ce mode de travail, de 7,4 % à 8,7 % de l'ensemble des établissements.
Les Travaux d'Utilité Collective constituent aujourd'hui un volet important de la politique d'insertion des jeunes. L'objectif de ce programme est de permettre à un maximum de jeunes sans emploi une familiarisation avec la vie professionnelle.