Les travailleurs handicapés en 2000
- 13 novembre 2002
- Dares Résultats N°47.1
Fin 2000, 92 000 établissements sont assujettis à l'obligation d'emploi des travailleurs handicapés définie par la loi du 10 juillet 1987.
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Fin 2000, 92 000 établissements sont assujettis à l'obligation d'emploi des travailleurs handicapés définie par la loi du 10 juillet 1987.
Début 2002, la dégradation du contexte macroéconomique amorcée en 2001 influe fortement sur les anticipations des ménages quant à l'évolution du marché du travail et sur leur jugement, désormais plus pessimiste, à l'égard des politiques de l'emploi.
En 2000, les 921 organismes prestataires de bilans de compétences inscrits dans Ie répertoire des organismes actifs ont produit 78 788 bilans pour un chiffre d'affaires de plus de 51 millions d'euros.
L’enquête a pour objectif de fournir une information détaillée sur la situation d’emploi ou d’inactivité des personnes handicapées ou souffrant de problèmes de santé depuis au moins 6 mois.
Dans l'enquête Emploi du temps, 17 % des salariés sont à temps partiel, mais la proportion est de 30 % pour les femmes et de 5 % pour les bommes. Parmi les temps partiels, les femmes représentent donc une très forte majorité (85 %).
Porté par des mesures incitatives, l'emploi salarié à temps partiel a fortement progressé depuis 1992 et est essentiellement féminin. Cette tendance s'est confirmée en 1996. La part de l'emploi à temps partiel dépasse désormais 17 % pour l'ensemble des salariés.
En 1995, on compte environ 266 000 salariés handicapés dans les établissements de plus de 19 salariés du secteur privé assujettis à l'obligation d'emploi. Parmi eux prédominent les hommes et les plus de 40 ans. La moitié sont des accidentés du travail.
D'après les données déjà publiées par l'INSEE ou le SESI, à la fin de l'année 1994, plus d'un million d'agents non titulaires étaient employés par les fonctions publiques, dont 700 000 environ pour la seule fonction publique d'Etat.
Les dépenses pour la formation des salariés se maintiennent tant dans le secteur public que dans le secteur privé, ainsi que les dépenses pour les jeunes en première insertion sur le marché du travail. Celles en faveur des demandeurs d'emploi reculent.