Le contrat de professionnalisation en 2021
- 1 septembre 2022
- Dares Résultats N°43
En 2021, les entrées en contrat de professionnalisation s’établissent à 120 600 et augmentent pour la première fois depuis 2019 (+7 % sur un an).
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En 2021, les entrées en contrat de professionnalisation s’établissent à 120 600 et augmentent pour la première fois depuis 2019 (+7 % sur un an).
Garantie jeune, insertion par l'activité économique, parcours emploi compétences... 1,8 million d'entrées sont comptées dans ces dispositifs entre mi-2020 et mi-2021, soit une hausse de 41 % sur un an.
Après l’arrivée d’un enfant, de nombreux parents sont amenés à effectuer des ajustements dans leur vie professionnelle. Ces modifications sont fortement différenciées selon le genre.
Les femmes et les hommes salariés ne sont pas confrontés aux mêmes conditions de travail. La Dares a apporté son expertise à la publication « Femmes et hommes, l’égalité en question » (Insee Références, 2022).
La Dares et l’Association Française des Managers de la Diversité (AFMD) ont organisé une webconférence pour rendre compte de la mise en œuvre de l’Index de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes trois ans après son entrée en vigueur.
L’étude vise à étudier la mise en œuvre de l’Index de l’égalité professionnelle femmes-hommes à partir d’une série de monographies d’entreprises.
8 entreprises assujetties sur 10 ont déclaré leur Index, en mars 2021. La note moyenne obtenue au titre de l’année 2020 est de 85 sur 100.
Pour approfondir la connaissance des discriminations à l’embauche, une expérimentation de grande ampleur a été menée par ISM Corum et l’Institut des politiques publiques (IPP), sous l’égide de la Dares.
Six mois après la fin d’un contrat de professionnalisation entre 2017 et 2019, 75 % des personnes sont en emploi et 47 % en contrat durable (CDI, CDD de plus de six mois ou titulaire de la fonction publique) non aidé.
Parmi les candidatures d’origine supposée maghrébine, les femmes reçoivent davantage de réponses positives que leurs homologues masculins (+10 %).