L'emploi intérimaire
- 10 décembre 2023
Depuis mai 2018, les données relatives à l'emploi intérimaire sont obtenues via la Déclaration sociale nominative (DSN).
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Depuis mai 2018, les données relatives à l'emploi intérimaire sont obtenues via la Déclaration sociale nominative (DSN).
Comment a évolué la proportion de personnes salariées qui portent des charges lourdes depuis les années 1980 ? Qui utilise l’informatique et comment cela a-t-il évolué ? Quelles sont les personnes qui doivent cacher leurs émotions dans leur travail ?
L’emploi intérimaire recule de nouveau au 3e trimestre 2023 (-2,1 %, soit -16 300 intérimaires), après une baisse moins marquée au 2e trimestre (-0,9 %, soit -6 900 intérimaires) et une baisse de même ampleur au 1er trimestre (-2,6 %, soit -21 400). Sur un an, il est en baisse de 5,0 %.
En 2022, 10,8 % des personnes en emploi travaillent au moins une fois de nuit sur une période de quatre semaines consécutives, en moyenne sur l'année. Cette part est en hausse par rapport à 2021 (+0,8 point) mais ne retrouve pas son niveau datant d’avant la crise sanitaire liée au Covid-19 (11,9 % en 2019).
Les métiers les plus concernés sont les caissiers, les agents d’entretien, les ouvriers du bâtiment, des industries de process et de la manutention.
23,5 % des personnes en emploi ont travaillé au moins un dimanche sur une période de quatre semaines consécutives, en moyenne en 2022. Cette part est en légère hausse par rapport à 2020 mais n'a pas retrouvé son niveau d'avant-crise.
En six ans, le taux de recours du secteur hospitalier aux intérimaires des entreprises de travail temporaire s’accroît régulièrement, hors période d’urgence sanitaire : il passe de 0,2 % fin mars 2017 à 0,4 % fin mars 2023.
L’emploi intérimaire diminue légèrement au 2e trimestre 2023 (-0,5 %, soit -4 300 intérimaires), après une baisse plus marquée au trimestre précédent (-2,5 %, soit -20 400 intérimaires au 1er trimestre 2023). Sur un an, il est également en recul, de 1,5 %.
En 2022, le taux d’emploi des seniors reste inférieur en France à celui de la moyenne de l'Union européenne, qui est de 62,4 %.
En 2022, parmi les 55-64 ans, les taux d’emploi et d’activité sont plus bas pour les femmes (55,5 % et 58,8 %) que pour les hommes (58,3 % et 61,9 %), bien que tous les deux soient en hausse.