L’organisation du temps de travail
- 19 novembre 2015
- Septennales
- Nationales
12 résultats
Les trois quarts des responsables de structures de l’insertion par l’activité économique estiment pouvoir choisir la personne qu’ils recrutent.
Au milieu des années 1980, les familles professionnelles sont nées d’un besoin d’unifier et de standardiser des classements créés par les statisticiens dans différentes régions. Ces outils avaient été construits dans le but de réunir, à travers un même filtre, les statistiques de l’emploi ainsi que celles de demande et d’offre d’emploi, en articulant les données de ces deux univers.
En 2013, 127 600 salariés en insertion ont travaillé dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), en moyenne chaque mois.
Ce numéro de Synthèse.Stat’ présente les contraintes auxquelles les salariés sont soumis et le degré de latitude dont ils disposent en matière d’organisation du temps de travail : semaine et journée de travail, horaires atypiques, congés, dépassements, astreintes, etc.
44 % des personnes embauchées dans les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE) ont trouvé leur emploi par leurs propres moyens ou par le bouche à oreille.
Les salariés des ateliers et chantiers d’insertion (ACI) et des entreprises d’insertion (EI), plus éloignés de l’emploi, sont plus souvent accompagnés que ceux des associations intermédiaires (AI) et des entreprises de travail temporaire d’insertion (ETTI).
Au cours des 30 dernières années, l’emploi a fortement progressé en France dans la quasi-totalité des métiers les plus qualifiés.
L’édition 2013 visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits...