Revue Travail et Emploi - Genre et travail indépendant - N°150 (2017)
- 3 janvier 2018
- Revue Travail et Emploi N°150
26 résultats
Atteignant 27 milliards d’euros en 2006, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’est accrue d’un milliard d’euros (+3,9 %) par rapport à 2005.
En 2006, dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel, la rémunération brute totale moyenne des femmes est inférieure de 27 % à celle des hommes.
Cette enquête pour objectif de comprendre les motivations qui conduisent certains salariés licenciés économiques à refuser les dispositifs d’accompagnement renforcé, de décrire l’accompagnement dispensé, d'analyser la situation professionnelle entre 13 et 18 mois après l’inscription à l’ANPE.
Malgré la hausse du taux d’activité des mères françaises depuis le milieu des années 1960, leur décision d’activité reste aujourd’hui contrainte par des facteurs spécifiques, dont la mise en évidence a fait l’objet de travaux de recherche récents.
L’objectif de cet article est de montrer que le choix de participation des femmes au marché du travail est influencé par celui des femmes habitant dans le même voisinage proche.
En 2005, le chiffre d’affaires des organismes de formation professionnelle continue s’est stabilisé à 5,4 milliards d’euros, soit 0,9 % de moins qu’en 2004.
25,9 milliards d’euros, tel est le montant de la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2005. L’effort de formation de la nation reste stable, à 1,5 % du PIB.
Fin août 2007, 1 970 600 demandeurs d’emploi sont inscrits en catégorie 1.
En 1985 une femme active occupée sur cinq déclarait travailler à temps partiel, contre une sur trois en 2005.