La syndicalisation
- 21 décembre 2021
- Triennales
- Nationales
En 2019, 10,3 % des salariés déclarent adhérer à un syndicat, 11,0 % des hommes et 9,5 % des femmes, en France (hors Mayotte).
167 résultats
En 2019, 10,3 % des salariés déclarent adhérer à un syndicat, 11,0 % des hommes et 9,5 % des femmes, en France (hors Mayotte).
En 2019, 41,9 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole, employant 78,9 % des salariés, sont couvertes par au moins une instance de représentation des salariés.
Fin septembre 2021, 16,7 % des salariés du privé travaillent à temps partiel et 83,3 % travaillent à temps complet dans les entreprises de 10 salariés ou plus, hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales.
Une discrimination à l’encontre des candidats d’origine maghrébine généralisée et persistante.
Pour approfondir la connaissance des discriminations à l’embauche, une expérimentation de grande ampleur a été menée par ISM Corum et l’Institut des politiques publiques (IPP), sous l’égide de la Dares.
Avec la crise, le nombre d’accords de performance collective (APC) augmente nettement. Cette hausse repose sur les unités (entreprises, groupes,...) aguerries au dialogue social. Les accords s’adaptent à l’urgence de la crise sanitaire et se démarquent de ceux conclus auparavant.
L’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,3 % au 3e trimestre 2021.
Parmi les candidatures d’origine supposée maghrébine, les femmes reçoivent davantage de réponses positives que leurs homologues masculins (+10 %).
Huit rapports d'études pour mieux comprendre des conséquences de la crise sur le développement des compétences, le système et le marché de la formation professionnelle ainsi que sur le modèle pédagogique et les pratiques des organismes de formation.
L'Université Gustave Eiffel étudie les effets de la récession sur la discrimination à l'embauche sur le marché du travail de la région parisienne, dans le contexte de la pandémie.