Insertion à six mois des sortants de contrat de professionnalisation (depuis 2011)
- 20 décembre 2022
L’enquête vise à étudier la situation des bénéficiaires de contrat de professionnalisation six mois après leur sortie de contrat.
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L’enquête vise à étudier la situation des bénéficiaires de contrat de professionnalisation six mois après leur sortie de contrat.
L’enquête vise à connaitre les motifs réels de sortie de ces personnes, et en cas de sortie pour reprise d’emploi, décrire la nature de l’emploi retrouvé.
L’enquête vise à mesurer l’insertion professionnelle des salariés ayant bénéficié d’un parcours d’insertion, six mois après leur sortie.
Fin juin 2021, du fait de la poursuite de la crise sanitaire et des mesures de prolongation automatique des droits à l’Assurance chômage, le nombre de demandeurs d’emploi indemnisables atteint le pic de 4,7 millions, ce qui représente 69 % des inscrits à Pôle emploi.
En 2021, les entrées en contrat de professionnalisation s’établissent à 120 600 et augmentent pour la première fois depuis 2019 (+7 % sur un an).
Bouches-du-Rhône, Gard, Haute-Saône, Ille-et-Vilaine, Nord, Paris, Somme, Val d'Oise : 8 monographies départementales sur la mise en œuvre des politiques en faveur de l’intégration professionnelle des réfugiés.
Le département du Nord est caractérisé par une offre relativement étoffée et l’existence de nombreux dispositifs orientés vers l’intégration professionnelle et le logement. Le département de la Somme aussi se caractérise par une gouvernance et un cadre d’action bien structurés.
L’insertion professionnelle des réfugiés en Haute-Saône est appréhendée sous l’angle de la « durabilité » et du maintien de ces publics BPI sur le territoire.
En Ille-et-Vilaine, un écosystème d’acteurs qui s’est globalement bien saisi de l’enjeu de l’intégration des réfugiés, sous l’impulsion d’une stratégie départementale affirmée.
Comme pour les autres départements littoraux de la région Occitanie, la situation économique apparait moins porteuse pour les réfugiés, avec un taux de chômage parmi les plus élevés (17% contre 14% en moyenne régionale) dans le département du Gard.