Le coût des politiques de l'emploi en 2006
- 15 juillet 2008
- Dares Résultats N°30.1
Le coût des politiques de l’emploi est estimé à 33,1 milliards d’euros en 2006 :
13 résultats
Le coût des politiques de l’emploi est estimé à 33,1 milliards d’euros en 2006 :
Cette enquête pour objectif de comprendre les motivations qui conduisent certains salariés licenciés économiques à refuser les dispositifs d’accompagnement renforcé, de décrire l’accompagnement dispensé, d'analyser la situation professionnelle entre 13 et 18 mois après l’inscription à l’ANPE.
Le chômage partiel permet à un établissement qui fait face à un choc conjoncturel de réduire temporairement son activité au-dessous de la durée légale ou d’arrêter momentanément toute ou partie de son activité.
Une opération de testing sur les discriminations à l'embauche des jeunes Français peu qualifiés d’origine apparente maghrébine ou noire africaine.
Atteignant 142,7 milliards de francs en 1998, la dépense pour la formation professionnelle augmente pour la troisième année consécutive.
En 1999, environ 126 000 personnes ont bénéficié d’un des dispositifs de reclassement accompagnant une restructuration.
Au 1er semestre 2000, le volume des offres d’emploi déposées à l’ANPE a continué à croître (+ 10 % par rapport au 1er semestre 1999), tandis que la baisse du nombre de demandes des catégories 1+2+3 s’est poursuivie (-13 % entre juin 1999 et juin 2000).
L’année 1999 est de nouveau marquée par un recul du nombre de contrats emploi-solidarité (CES) conclus (447 000 conventions, soit 7 % de moins qu’en 1998) et une forte augmentation des contrats emplois consolidés (CEC) (129 000 conventions, en hausse de 23 %).
La bonne conjoncture économique de 1999 s’est traduite par une stabilisation du recours au chômage partiel.
Depuis 1987, la convention de conversion est proposée aux salariés licenciés pour motif économique pour les aider à se reclasser.