Premier bilan de l'emploi et du chômage en 1992
- 13 mars 1993
- Dares Résultats N°25
Le rythme de croissance de l'économie française en 1991 (1,6 %), bien que supérieur à celui de 1991, s'est ralenti progressivement au cours de l'année.
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Le rythme de croissance de l'économie française en 1991 (1,6 %), bien que supérieur à celui de 1991, s'est ralenti progressivement au cours de l'année.
La tendance au ralentissement de l'économie française s'est poursuivie en 1991 avec une croissance du PIB marchand de + 0,7 % contre + 2,3 % en 1990. Le chômage de longue durée s'accroît et touche 893 000 personnes à la fin de 1991.
Conclus à plus de 60 % par des syndicats, les accords priorisent le recrutement de salariés de l'entreprise sur la base du volontariat. La rémunération est souvent plus favorable que les 50 % de majoration légale prévus.
Le ralentissement conjoncturel que connaît l'économie française depuis la mi-89, s'est traduit en 1990 par un ralentissement des créations d'emploi : 225 800 après plus de 300 000 en 1989 pour les salariés des secteurs marchands non agricoles.
L'enquête visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits…
Avec une progression de 3,7 % du PIB marchand, la croissance de l'économie française s'est poursuivie en 1989 au même rythme qu'en 1988, dans un environnement devenu résolument optimiste. La reprise de l'emploi qui s'était manifestée en 1988, s'est consolidée en 1989.
La reprise de l'activité économique dont les premiers signes s'étaient manifestés au second trimestre 1987, s'est confirmée et même amplifiée au cours de l'année 1988.
Entre 1982 et 1984, le travail en équipes successives s'est développé : la proportion de salariés concernés passe de 10,4 % de l'ensemble des salariés en 1982, à 12,6 % en 1984. Et la part des établissements ayant recours à ce mode de travail, de 7,4 % à 8,7 % de l'ensemble des établissements.
L'enquête visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits…