Les salariés licenciés pour motif économique
- 9 janvier 2020
- Dares Analyses N°001
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En dépit d’un climat conjoncturel défavorable, l’activité économique en France a continué de progresser au 4e trimestre 2011 : +0,2 % en variation trimestrielle, après une hausse de +0,3 % au trimestre précédent.
Entre août 2005 et juin 2008, le « contrat nouvelles embauches » (CNE) a constitué une nouvelle modalité de recrutement pour les entreprises ou associations comptant au plus vingt salariés.
Entre janvier 2005, date de création du dispositif, et décembre 2008, 198 Maisons de l’emploi ont été conventionnées en France métropolitaine.
En juin 2005, 41,5 % des salariés des TPE étaient employés à temps partiel, sur un contrat à durée déterminée ou bénéficiant d’une aide ciblée de l’État.
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1993 à 289 milliards de francs, soit une progression de 8 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépense d'indemnisation du chômage en hausse de 5 % en représentent 43 %.
Les années 1992 et 1993 ont été particulièrement défavorables en matière d'emploi, 450 000 suppressions en deux ans se traduisant par 650 000 chômeurs supplémentaires.
À partir de 1994 la DARES a suivi pendant plus de trois ans les parcours de chômeurs de longue durée, bénéficiaires de programmes d'aide à l'emploi (CES, CIE et stages SIFE).
En 1992, 40 % des établissements de 50 salariés ou plus ont créé des emplois supplémentaires ; ils étaient 53 % en 1989.
En 1994, le nombre de chômeurs dans l'Union Européenne devrait dépasser 18 millions, soit un taux de chômage de 12 %. Le PIB communautaire serait plus bas de 8 % à ce qu'il aurait été si la croissance s'était poursuivie au rythme de 3 % depuis 1990.