Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail
- 20 mai 2022
- Annuelles
- Nationales
Ces séries présentent un suivi des dépenses générales, ciblées et à la lisière des politiques d’emploi.
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Ces séries présentent un suivi des dépenses générales, ciblées et à la lisière des politiques d’emploi.
L’objectif de cette nomenclature est de collecter des données sur les dépenses et les bénéficiaires des politiques du marché du travail mises en œuvre par les différents États membres pour lutter contre le chômage.
La Dares a réalisé une étude pour la réunion du Conseil d'orientation des retraites du 27 janvier 2022 dédiée à la question de l'âge de la retraite.
Elles ont augmenté de 3,4 % en euros constants par rapport à 2016 dans un contexte de croissance économique forte (+2,2 %) et de hausse des créations d’emplois dans le secteur marchand (+55 % par rapport à 2016).
Les « dépenses ciblées » s’élèvent à 67 Md€ en 2016, soit 3 points de PIB, et progressent de 2,5 % en euros constants (après +0,8 % en 2015).
Les entreprises de 1 à 9 salariés regroupent 20 % de l’emploi salarié concurrentiel. Au 31 décembre 2014, elles emploient en moyenne 3 salariés, mais 36 % ne comptent qu’un seul salarié.
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées à 85,7 milliards d’euros (Md€) en 2012, soit 4,1 points de PIB.
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées à 87 milliards d’euros (Md€) en 2009, soit 4,6 points de PIB.
La dépense pour l'emploi (DPE) s'élève en 1989 à 201,4 milliards de francs, en augmentation de 0,5 % en francs courants, mais, pour la première fois, en diminution de 3,0 %.
Dans l'ensemble, l'opinion attache une grande importante à l'action des pouvoirs publics pour lutter contre le chômage, mais 77 % des personnes interrogées pensent que les mesures mises en oeuvre sont peu ou pas du tout efficaces. Seuls 21 % les jugent " assez efficaces ".