L'orientation des chômeurs vers la formation de 2002 à 2004
- 17 juillet 2006
- Dares Analyses N°29.2
n 2002, la possibilité de suivre une formation est évoquée pour près de la moitié des chômeurs reçus en PAP02.
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n 2002, la possibilité de suivre une formation est évoquée pour près de la moitié des chômeurs reçus en PAP02.
Les entreprises sont souvent en dépôt de bilan lorsqu’un plan de sauvegarde de l’emploi est élaboré.
Au 31 décembre 2003, 13 % des allocataires du revenu minimum d’insertion et de l’allocation de solidarité spécifique en bénéficiaient.
Plus d’un million de jeunes de 16 à 25 ans ont été accueillis en 2004, dont plus de 440 000 pour la première fois.
En 2004, 330 000 chômeurs ont débuté une formation financée par l’État. Les stages d’insertion et de formation à l’emploi (SIFE) se replient, alors que les stages d’accès à l’entreprise (SAE) et les stages de l’AFPA restent stables.
Dans les seize mois qui suivent le PAP02, les actions du service public de l’emploi s’intensifient dans la majorité des cas.
Du milieu des années soixante-dix jusqu’à ces dernières années quatre-vingt-dix, la croissance du PIB en France a été non seulement ralentie mais également marquée par d’importantes fluctuations conjoncturelles.
Après deux années de recul, les entrées dans les dispositifs spécifiques de la politique de l’emploi se stabilisent à 2,3 millions en 1998.
En 1998, les employeurs utilisateurs du programme « nouveaux services-emplois jeunes » déclarent ne pas avoir rencontré de difficultés majeures à faire accepter leur projet par les services instructeurs, ou lors des recrutements.
Dès 1997, la première année de mise en œuvre du programme « Nouveaux Services-Emplois Jeunes » a été largement consacrée à la construction des partenariats locaux, aux campagnes d’information, au soutien aux porteurs de projet et à l’élaboration d’une doctrine pour l’instruction des dossiers.