Évaluation et analyse coût-bénéfice du programme EMILE
- Le 20 décembre 2019
17 résultats
29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
Les entreprises d’insertion se doivent de concilier deux logiques distinctes : porter un projet social, qui engendre des contraintes et des surcoûts, et assurer leur viabilité économique.
Les femmes ont quatre fois plus de chances de connaître une insertion en CDI à temps partiel à l’issue de l’IAE.
Fin 2017, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) comptait un peu plus de 136 000 salariés en insertion, un nombre en hausse de 3 % par rapport à 2016.
Dans le secteur de l’insertion par l’activité économique, le nombre d’associations intermédiaires, d’entreprises d’insertion et d’entreprises de travail temporaire d’insertion s’élevait à 1 800 fin 2005, auxquelles se rajoutent 3 300 ateliers et chantiers d’insertion.
En mars 2003, quatre ans après la fin de leur contrat emploi consolidé (CEC), les bénéficiaires qui ont enchaîné un contrat emploi-solidarité (CES) puis un CEC se retrouvent dans deux cas sur trois en emploi. 19 % sont au chômage.
Les missions locales et les Permanences d’Accueil, d’information et d’orientation (PAIO) ont été créées dans les années quatre-vingt pour lutter contre le chômage des jeunes et faciliter leur insertion sociale et professionnelle.