Évaluation du suivi mensuel personnalisé mis en place par l'ANPE en 2006
- 18 décembre 2012
- Document d'études N°175
Dans cette étude, nous évaluons l’effet du suivi mensuel personnalisé (SMP) sur les trajectoires des demandeurs d’emploi.
10 résultats
Dans cette étude, nous évaluons l’effet du suivi mensuel personnalisé (SMP) sur les trajectoires des demandeurs d’emploi.
Le RSA est entré en vigueur le 1er juin 2009. Fin 2010, 2,2 millions de personnes vivaient dans un foyer bénéficiaire du RSA (personne allocataire ou conjoint) : 1,6 million au titre du RSA socle et 0,6 million au titre de RSA activité seul, nouvelle composante de la prestation.
En se centrant sur les foyers de travailleurs éligibles au RSA activité seul ou non-éligibles en mai 2009, cette étude cherche à mesurer l’impact du RSA sur la probabilité de rester en emploi fin 2010 et sur la variation du nombre d’heures travaillées.
8 mois après leur entrée dans le dispositif, les demandeurs d’emploi pris en charge en novembre 2009 ou mars 2010 occupent plus fréquemment un emploi lorsqu’ils ont été accompagnés par Pôle emploi (43 % contre 38 % pour les OPP) et plus fréquemment un emploi durable (28 % contre 23 %).
À l’horizon de 8 mois, l’accompagnement par les OPP pris dans leur ensemble a augmenté significativement la proportion de jeunes occupant un CDD d’au moins 6 mois.
L’activité économique a ralenti au 3e trimestre 2010 (+0,3 % en variation trimestrielle, après +0,6 % au trimestre précédent).
Cette enquête visait à comprendre le rôle de l’Accre dans le processus de retour à l’emploi des demandeurs d’emploi et l’accompagnement dont ils ont bénéficié.
L’enquête visait à retracer les trajectoires professionnelles des personnes passées par des dispositifs de la politique de l’emploi à la fin des années 90 et d'évaluer l'efficacité des contrats aidés ou stages de formation.
Le nombre d'Associations Intermédiaires (A.I.) actives a dépassé le chiffre de 900 en 1991. Globalement, l'activité de ces associations tournées vers la réinsertion professionnelle de publics très en difficulté, progresse de 25 % en un an.
200 000 personnes environ ont bénéficié d'un stage " AIF " en 1991. Près des trois-quarts sont des chômeurs de longue durée ou des chômeurs " récurrents " (au moins de 12 mois de chômage au cours des 18 derniers mois) ; un sur cinq est allocataire du RMI.