La répartition des hommes et des femmes par métiers
- 13 décembre 2013
- Dares Analyses N°079
Les femmes et les hommes n’exercent pas les mêmes métiers.
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Les femmes et les hommes n’exercent pas les mêmes métiers.
Six mois après la fin de l’aide de l’État associée à leur contrat, 70 % des salariés sortis en 2011 d’un contrat aidé du secteur marchand sont en emploi (comme en 2010).
En 2011, 166 000 personnes ont été embauchées ou renouvelées dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), soit une hausse de 3,5 %, après 4,7 % en 2010.
Fin 2008 et fin 2009, la Dares a mené une enquête auprès de demandeurs d’emploi entrés ou non dans l’un des quatre contrats aidés issus de la loi de cohésion sociale (CIE, CI-RMA, CAE, CAV) et leur a, à cette occasion, demandé ce qu’ils pensaient de ces dispositifs.
Fin 2007, les trois quarts des employeurs ayant recruté en contrat d’accompagnement dans l’emploi, contrat d’avenir, contrat initiative emploi ou contrat insertion-revenu minimum d’activité déclaraient que leur salarié avait suivi une formation au cours du contrat.
255 000 emplois ont été perdus en France métropolitaine au cours de l’année 2009, reflet d’un recul annuel historique de l’emploi, alors qu’on comptait déjà 145 000 postes en moins en 2008.
Fin 2007, l’ANPE (désormais Pôle emploi) était considérée par les employeurs ayant recruté en contrat aidé comme le principal vecteur de connaissance de ces contrats de même qu’un intermédiaire prépondérant pour le recrutement.
L’activité économique a nettement accéléré au 4e trimestre 2009 (+0,6% en variation trimestrielle, après +0,2 % au trimestre précédent).
L'enquête permet de mieux comprendre le passage en dispositif et les modalités d’accompagnement et de décrire la trajectoire professionnelle des signataires et leurs caractéristiques sociodémographiques.
L'enquête vise à suivre et évaluer la mise en œuvre et l'impact du Revenu de solidarité active en comparant la situation de foyers dont l'offre de travail est susceptible d'être modifiée par l'instauration du RSA à celle de foyers dont l'offre de travail ne devrait pas être impactée.