L'accompagnement des demandeurs d'emploi : enseignements des évaluations
- 12 décembre 2013
- Document d'études N°178
L’accompagnement des demandeurs d’emploi constitue le cœur des stratégies dites « d’activation » des chômeurs.
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L’accompagnement des demandeurs d’emploi constitue le cœur des stratégies dites « d’activation » des chômeurs.
Selon une enquête menée en 2009 par la Dares auprès de demandeurs d’emploi ayant débuté une formation en 2006, 38 % étaient en emploi un mois après la fin de leur formation, 56 % six mois après et 64 % dix-huit mois après.
Fin 2008 et fin 2009, la Dares a mené une enquête auprès de demandeurs d’emploi entrés ou non dans l’un des quatre contrats aidés issus de la loi de cohésion sociale (CIE, CI-RMA, CAE, CAV) et leur a, à cette occasion, demandé ce qu’ils pensaient de ces dispositifs.
Les entreprises de 1 à 9 salariés (très petites entreprises ou TPE) regroupent 20 % de l’emploi salarié concurrentiel, hors agriculture et hors intérimaires et stagiaires.
L’activité économique a accéléré au 4e trimestre (+0,4 % en variation trimestrielle, après +0,2 % au trimestre précédent).
En juin 2005, 41,5 % des salariés des TPE étaient employés à temps partiel, sur un contrat à durée déterminée ou bénéficiant d’une aide ciblée de l’État.
En 2004, 65 000 chômeurs ont créé leur entreprise en mobilisant le dispositif d’aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprise (ACCRE), une progression de plus de 40 % par rapport à 2003 et un doublement en deux ans.
En 2003, 72 000 résidents en zone urbaine sensible (ZUS) ont accédé à un contrat aidé hors alternance, soit 13 % du total des entrants en France métropolitaine.
Les demandeurs d’emploi sont de moins en moins nombreux à suivre des stages de formation financés par l’État.
Les chômeurs qui entrent dans leur treizième mois de chômage en janvier 1990 représentent 13 % de leur cohorte d'origine, c'est-à-dire de l'ensemble des demandeurs d'emploi qui se sont inscrits à l'ANPE un an plus tôt.