L'emploi et le chômage au deuxième trimestre 2002
- 3 octobre 2002
- Dares Résultats N°41.2
Le ralentissement de la conjoncture depuis le début de l'année 2001 continue d'imprimer sa marque sur l'évolution de l'emploi et du chômage.
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Le ralentissement de la conjoncture depuis le début de l'année 2001 continue d'imprimer sa marque sur l'évolution de l'emploi et du chômage.
L'évolution du marché du travail, au cours de l'année 2001, reflète le ralentissement économique intervenu à partir d'avril.
La croissance économique est à nouveau positive au premier trimestre 2002 et le secteur concurrentiel non agricole crée 37 000 emplois.
Malgré le repli de l’emploi industriel, et alors même que le PIB du secteur concurrentiel diminuait, le dynamisme du secteur tertiaire et, dans une moindre mesure, celui de la construction, ont conduit à la création de 50 000 nouveaux emplois au quatrième trimestre 2001.
Malgré un rythme ralenti comparé au dynamisme de l'année 2000, l'emploi salarié dans le secteur concurrentiel continue de progresser au troisième trimestre 2001 (+29 000 postes).
Du point de vue du marché du travail, le troisième trimestre 1996 se situe tout à fait dans le prolongement des trois précédents : l'emploi salarié reste depuis un an pratiquement stable dans une contexte de faible croissance économique et le chômage continue à augmenter.
L'évolution de la législation a, depuis 1992, favorisé le développement du temps partiel qui s'est, dans certains cas, inscrit dans le cadre d'accords de branche ou d'entreprise.
Le deuxième trimestre 1996 est marqué par un recul de l'activité économique. Dans ce contexte particulièrement défavorable, le niveau global de l'emploi salarié privé demeure stable.
La diversité des marchés locaux du travail dessine une géographie qui permet de mieux identifier les risques des territoires (ici les zones d'emploi) face au chômage.
En 1995, un peu plus de 200 000 personnes sont entrées dans l'un des dispositifs publics d'accompagnement des restructurations. Après une diminution modérée des entrées en 1994 (- 4 %), l'année 1995 est donc marquée par un recul très prononcé (- 21 %).