Les marchés du travail européen et américain dans la crise
- Le 5 novembre 2014
12 résultats
Au 3e trimestre de 2006, le PIB a stagné : 0,0 %, après +1,2 % au 2ème trimestre.
Au 2e trimestre de 2006, le PIB accélère nettement : +1,2 %, après +0,4 % au 1er trimestre. Les créations d’emplois salariés prennent de l’ampleur et s’élèvent à +54 000 dans le secteur marchand non-agricole, après +28 000 au trimestre précédent.
Au 1er trimestre de 2006, le PIB progresse de +0,5 % après +0,3 % au 4ème trimestre.
Dans le secteur des emplois familiaux, les salariés ont travaillé près de 650 millions d’heures en 2004, soit une progression de 4 % par rapport à l’année précédente.
Au 4e trimestre de 2005, l’activité économique progresse moins fortement : +0,4 %, après +0,7 % au 3ème trimestre.
Chacun des trois grands secteurs, industrie, construction et tertiaire, est créateur d'emplois ce trimestre.
La création d’emplois s’est poursuivie à un rythme vigoureux durant le deuxième trimestre de 1999.
En 1998, la croissance du PIB a atteint 3,2 % (en moyenne annuelle) et le nombre d’emplois créés a été de 406 000 (en glissement annuel), niveau proche de celui du début des années soixante-dix.
Que l’on analyse les modifications affectant la démographie et les comportements d’activité professionnelle, les transformations de l’emploi ou les évolutions des formes de chômage, les différents pays européens présentent des traits communs mais aussi des facteurs d’originalité.