Conjoncture de l'emploi et du chômage au 3e trimestre 2006
- 22 décembre 2006
- Dares Indicateurs N°52.3
Au 3e trimestre de 2006, le PIB a stagné : 0,0 %, après +1,2 % au 2ème trimestre.
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Au 3e trimestre de 2006, le PIB a stagné : 0,0 %, après +1,2 % au 2ème trimestre.
Il n’est pas toujours aisé pour un employeur de recruter un salarié. En cas de difficulté, soit l’employeur est parvenu à la surmonter et a tout de même réussi à recruter, soit il n’a pas effectué le recrutement, la procédure ayant été abandonnée ou suspendue.
Lorsque les établissements recrutent, c’est le plus souvent pour remplacer un salarié et les embauches se concrétisent dans un délai assez court. Les candidatures spontanées reçues par l’établissement sont à l’origine de près du quart des recrutements.
L’enquête visait à obtenir des informations sur le déroulement des procédures des millions de recrutements qui ont lieu chaque année.
Au 2e trimestre de 2006, le PIB accélère nettement : +1,2 %, après +0,4 % au 1er trimestre. Les créations d’emplois salariés prennent de l’ampleur et s’élèvent à +54 000 dans le secteur marchand non-agricole, après +28 000 au trimestre précédent.
Au 1er trimestre de 2006, le PIB progresse de +0,5 % après +0,3 % au 4ème trimestre.
n 2002, la possibilité de suivre une formation est évoquée pour près de la moitié des chômeurs reçus en PAP02.
L’analyse des réponses jusqu’à mars 2003 montre que le CIE est efficace du point de vue du retour à l’emploi et de l’amélioration du niveau de vie, alors que les CES et les SIFE n’améliorent pas la situation des bénéficiaires par rapport aux trajectoires des témoins.
427 000 personnes sont allocataires du régime de solidarité au 31 décembre 2004, soit 9,8 % de l’ensemble des personnes potentiellement indemnisables par une allocation chômage.
Au 4e trimestre de 2005, l’activité économique progresse moins fortement : +0,4 %, après +0,7 % au 3ème trimestre.