Les sortants des listes des fichiers de demandeurs d’emploi de l’ANPE
- 20 novembre 2000
L’enquête vise à connaitre les motifs réels de sortie de ces personnes, et en cas de sortie pour reprise d’emploi, décrire la nature de l’emploi retrouvé.
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L’enquête vise à connaitre les motifs réels de sortie de ces personnes, et en cas de sortie pour reprise d’emploi, décrire la nature de l’emploi retrouvé.
Au cours de l’année 1996, le contrat initiative emploi (CIE) a été largement remanié afin d’être recentré sur les personnes les plus éloignées de l’emploi.
L’année 1999 est celle de la mise en application de la réforme de l’insertion par l’activité économique, engagée par la loi d’orientation relative à la lutte contre les exclusions.
La croissance de l’emploi est restée vigoureuse au deuxième trimestre 2000, quoiqu’en retrait par rapport au trimestre précédent : 120 000 emplois ont été créés au total, dont 110 000 dans les secteurs concurrentiels non agricoles.
Depuis 1987, la convention de conversion est proposée aux salariés licenciés pour motif économique pour les aider à se reclasser.
Au premier trimestre, les créations d’emplois (+ 151 000) ont été plus vigoureuses qu’au trimestre précédent.
L’année 1999 s’est conclue par des créations d’emplois et une réduction du chômage de grande ampleur : + 420 000 emplois et - 350 000 demandeurs d’emplois en fin de mois de catégorie 1 (DEFM) entre fin 1998 et fin 1999.
En 1998, neuf mois après leur inscription à l’ANPE, les personnes encore au chômage se déclarent prêtes à de nombreux sacrifices pour retrouver du travail.
Ensemble, les entreprises des trois grands secteurs – tertiaire, industrie, construction – ont créé 122 000 emplois au dernier trimestre 1999, soit plus que durant chacun des autres trimestres de l’année.
En janvier 1999, comme en mars 1995, 38 % des jeunes de 15 à 29 ans travaillent et 9,5 % sont au chômage (pour les seuls moins de 25 ans, les proportions sont respectivement de 19,6 % et 7,5 % au début de 1999).