Les technologies de l'information et de la communication : emploi en forte hausse
- 3 juillet 2001
- Dares Analyses N° 28.2
En 2001, les technologies de l’information et de la communication (TIC) font partie des secteurs fortement créateurs d’emplois.
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En 2001, les technologies de l’information et de la communication (TIC) font partie des secteurs fortement créateurs d’emplois.
Depuis 1994, l'emploi dans les métiers de la logistique croît plus fortement que dans l'ensemble de l'économie.
Au 1er semestre 2000, le volume des offres d’emploi déposées à l’ANPE a continué à croître (+ 10 % par rapport au 1er semestre 1999), tandis que la baisse du nombre de demandes des catégories 1+2+3 s’est poursuivie (-13 % entre juin 1999 et juin 2000).
En ce début d’année 2000, le marché du travail s’est plus spécialement tendu dans certains domaines industriels tels l’électricité et l’électronique, la mécanique et le travail des métaux et dans le BTP, avec une croissance forte (voisine ou supérieure à 40 %) du ratio offres sur demandes enregistrées.
En janvier 1999, comme en mars 1995, 38 % des jeunes de 15 à 29 ans travaillent et 9,5 % sont au chômage (pour les seuls moins de 25 ans, les proportions sont respectivement de 19,6 % et 7,5 % au début de 1999).
L’enquête permet de définir des emplois types pour le suivi des évolutions de salaire de l'enquête Acemo trimestrielle. La répartition des effectifs sert au calcul des indices par catégorie de salarié et niveau de qualification.
En 1996, les technologies de l’information et des télécommunications font partie des activités fortement créatrices d’emplois.
La tendance à externaliser de plus en plus la fonction transport dans l’industrie et la grande distribution s’est poursuivie au cours de la période 1990-1997, au profit des entreprises du transport routier de marchandises.
En octobre 1996, dans les petits établissements, le gain mensuel moyen brut est de 10 855 francs pour un travail à temps plein, soit 8,5 % de moins que dans les établissements de 10 salariés et plus. Une femme y gagne en moyenne 17 % de moins qu'un homme.
En 1994, 90 000 salariés ont été recrutés avec l'exonération des charges patronales au titre d'une première embauche (soi 17 % de plus qu'en 1993), 6 800 au titre de l'embauche d'un deuxième salarié (+ 82 %) et plus de 4 000 au titre de l'embauche d'un troisième salarié.