Le reclassement professionnel des salariés licenciés pour motif économique
- 23 octobre 2009
- Dares Analyses N°43.3
Les personnes suivies en CTP déclarent moins fréquemment avoir réalisé des concessions pour obtenir un nouvel emploi.
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Les personnes suivies en CTP déclarent moins fréquemment avoir réalisé des concessions pour obtenir un nouvel emploi.
Depuis avril 2006, les salariés licenciés pour motif économique dans des entreprises de moins de 1 000 salariés peuvent se voir proposer une convention de reclassement personnalisé (CRP) ou, dans certains bassins d’emploi, un contrat de transition professionnelle (CTP).
Dans le domaine professionnel du bâtiment et des travaux publics, pour la première fois depuis le 1er trimestre 2006, les tensions sur le marché du travail sont en hausse (+3,8 %) par rapport au trimestre précédent.
En 2008, le travail du dimanche concerne près de 6,5 millions de salariés, soit 28 % d’entre eux.
Les demandeurs d’emploi suivis par les équipes CVE ont eu des propositions d’offres d’emploi plus nombreuses et en meilleure adéquation avec leurs attentes qu’en parcours « classique ».
Les motifs d’adhésion mais aussi de non-adhésion aux parcours OPP ou CVE sont peu différents. Ceux qui ont refusé d’adhérer pensaient principalement retrouver un emploi grâce à leurs relations ou avaient déjà un emploi en vue.
Les résultats robustes sur l’impact de ces programmes sur le retour à l’emploi, présentés dans ce rapport, découlent de modalités innovantes d’évaluation mises en œuvre par les chercheurs du Crest et l’Ecole d’Economie de Paris (EEP).
En 2007, le secteur de la formation continue a poursuivi sa forte croissance, réalisant un chiffre d’affaires de 6,4 milliards d’euros, soit 7 % de plus qu’en 2006.
Au cours du premier semestre 2005, les flux d’offres d’emplois déposées à l’ANPE par les employeurs continuent de s’accroître pour atteindre un niveau record supérieur à ceux observés durant l’année 2000.
Trois quarts des travailleurs de nuit, de minuit à cinq heures du matin, sont des hommes. Pourtant, depuis le début des années quatre-vingt dix, le travail de nuit des femmes a progressé plus rapidement que celui des hommes.