Analyse économique des liens entre l’épargne salariale et les politiques de rémunération
- Le 15 novembre 2013
8 résultats
En 2011, 56,5 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
Après un fort recul en 2008 et 2009, l’emploi total a augmenté en 2010 de 185 000 postes en France métropolitaine.
En 2009, dans un contexte de grave crise économique, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 31,3 milliards d’euros, soit 4,1 % de plus qu’en 2008.
En vingt-cinq ans, la hausse globale du niveau de diplôme a transformé les « normes de qualification » requises pour l’exercice du métier, en particulier pour les employés. Le salariat, le temps partiel et les formes particulières d’emploi (CDD, intérim) se sont développés.
12,7 milliards d’euros ont été distribués en 2004 au titre de la participation, de l’intéressement et de l’abondement à un plan d’épargne entreprise.
La négociation s’est fortement développée dans les entreprises au cours de la dernière décennie : de la réduction du temps de travail à l’épargne salariale, les discussions entre représentants de la direction et représentants du personnel se sont multipliées.