Analyse économique des liens entre l’épargne salariale et les politiques de rémunération
- Le 15 novembre 2013
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Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,2 % au 3e trimestre 2013 et de 1,6 % sur un an.
En 2011, 56,5 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,0 % des salariés travaillent à temps complet fin juin 2013.
Les effectifs salariés dans les secteurs principalement marchands (1) progressent de 0,1 % sur le troisième trimestre 2006 et de 0,9 % sur un an. La durée hebdomadaire collective moyenne du travail est de 35,6 heures à la fin du mois de septembre 2006.
Au deuxième trimestre 2006, 84,6 % des salariés des entreprises de 10 salariés ou plus travaillent à temps complet.
12,7 milliards d’euros ont été distribués en 2004 au titre de la participation, de l’intéressement et de l’abondement à un plan d’épargne entreprise.
La négociation s’est fortement développée dans les entreprises au cours de la dernière décennie : de la réduction du temps de travail à l’épargne salariale, les discussions entre représentants de la direction et représentants du personnel se sont multipliées.