Coût de la main-d’œuvre et la structure des salaires
- 24 octobre 2019
Cette enquête vise à évaluer les dépenses engagées par les entreprises au titre de leurs salariés.
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Cette enquête vise à évaluer les dépenses engagées par les entreprises au titre de leurs salariés.
Les contraintes organisationnelles et relationnelles regroupent les caractéristiques du temps de travail, les contraintes de rythme de travail, l’autonomie et les marges d’initiative, le collectif de travail et les contacts avec le public.
Elles ont augmenté de 3,4 % en euros constants par rapport à 2016 dans un contexte de croissance économique forte (+2,2 %) et de hausse des créations d’emplois dans le secteur marchand (+55 % par rapport à 2016).
En 2016, 5,9 % des salariés déclarent travailler habituellement trois jours ou moins par semaine dans leur emploi principal.
L’indice du salaire horaire de base des ouvriers et des employés progresse de 0,2 % au 4e trimestre de l’année, soit 1,5 % sur un an.
Entre 1995 et 2015, environ 11 % des salariés étaient chaque année rémunérés au voisinage du salaire minimum. Les salariés les plus jeunes, ainsi que les femmes, sont plus souvent concernés.
En 2010, dans le secteur privé et les entreprises publiques, la rémunération brute mensuelle moyenne des salariés en équivalent-temps plein était de 2 764 euros (en hausse de +2,1 % après +1,0 % en 2009) et le salaire moyen net de tous prélèvements sociaux de 2 082 euros (+2,0 % après +1,3 % en 2009).
En 2011, sur 22,3 millions de salariés des secteurs privé et public, 3,6 millions, soit près d’1 salarié sur 6, occupent un emploi à bas salaire, c’est-à-dire un emploi dont le salaire mensuel net est inférieur ou égal aux deux tiers du salaire mensuel net médian.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,2 % des salariés travaillent à temps complet au quatrième trimestre 2011.